Complications particulières à chaque technique opératoire :
- Fluctuations visuelles journalières
- Eblouissement et halos nocturnes
- Hypermétropie secondaire ou progressive
- Fragilisation théorique du globe
- Douleurs postopératoires 2 à 3 jours
- Retard d’épithélialisation
- Haze ou cicatrisation sous-épithéliale, responsable d’un brouillard visuel, s’atténuant progressivement : 1 à 2%
- Halos nocturnes, en cas de forte myopie, et de diamètre pupillaire large et en cas de cicatrisation sous-épithéliale.
- Risque faible d’infection ou d’inflammation postopératoire : 1/4000
- Risque de déplacement ou de plis du capot cornéen dans les premiers jours en cas de frottement brutal ou de plis du capot, d’où la nécessité de porter une coque rigide, la nuit, pendant 2 semaines après l’intervention.
- Risque de sécheresse oculaire nécessitant l’instillation de larmes artificielles, un mois après l’intervention.
- Risque d’envahissement de l’espace sous le capot cornéen, par des cellules épithéliales, nécessitant un rinçage (0.1 %).
- Risque d’une réaction inflammatoire, sous le capot cornéen nécessitant un traitement anti-inflammatoire ou un rinçage (0.5 %).
- Risque de halos nocturnes, en cas de forte myopie et de diamètre pupillaire plus large
- Risque faible d’infection ou d’inflammation postopératoire : 1/5000
- Risque d’ectasie ou d’astigmatisme irrégulier: Il s’agit d’une complication exceptionnelle et tardive, survenant essentiellement sur les cornées ayant un kératocône frustre ou autres pathologies cornéennes non diagnostiquées ou non apparentes en préopératoire. Cette complication survient surtout quand les capots sont épais et que l’ablation du tissu cornéen est profonde.
- Traitement personnalisé par aberrométrie, soit par Lasik ou PRK.
- Complications identiques à la technique choisie
- Moindre fréquence de halos et d’éblouissements nocturnes.
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